| | La Fabuleuse Caverne Des Ecrits Oubliés... | |
| | Auteur | Message |
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Shaïma
Messages : 154 Date d'inscription : 03/09/2012
| Sujet: La Fabuleuse Caverne Des Ecrits Oubliés... Lun 10 Sep - 11:18 | |
| Alors, par quoi on commence déjà ? Chers membres ? Ou je présente les personnages, comme dans un livre ? Je vais commencer par vous souhaiter la bienvenue dans La Fabuleuse Caverne Des Écrits Oubliés...
Ici, vous trouverez, enfin lirez, différents textes de MON "invention". Poèmes, histoires courtes... Je l'ai ai imaginés et vous les partage... Mais avant toute chose...
INTERDICTION FORMELLE DE LES REPRENDRE SANS MON AUTORISATION MÊME SI C'EST JUSTE SUR VOTRE ORDINATEUR !!!
Merci ^^
Notez bien que ces textes sont inventés au fur et a mesure que j'écris... Ils sont "improvisés" en quelque sorte et non écrits a l'avance.. Si vous êtes sages, je vous taperais même une histoire que j'écris avec l'aide d'une pote qui s'intitule "Les Crocs De La Peur"...
PS : Ces textes sont écrits avec mon cœur et toute mon potentiel, les petits malins qui n'ont pour but dans la vie que critiquer sortent immédiatement merci ! J'accepte tout les commentaires et conseils d'améliorations pour autant qu'ils ne soient pas "destructifs" et qu''ils ne visent qu'a donner un point de vue... Si vous n'aimez pas, tant pis ! Dehors on circule ! Je ne peux pas vous forcer a aimer, on a tous quelque chose que l'on déteste pour ma part : omelette - araignées - betteraves et Raviolis (et pleins d'autres --" ) mais on s'éloigne du sujet !
Bon ! Ceci dit... Vous êtes impatients/impatientes ? Alors on s'envole (ou plutôt on plonge) dans La Fabuleuse Caverne Des Écrits Oubliés...
Solitaire...
- Spoiler:
Le monde... Le monde si cruel... J'ai entendu de nombreux mensonges de la part des bipèdes durant mon enfance. Certains voyaient la vie comme une magnifique fontaine, se répétant qu'elle étaie belle. D'autres, l'imaginaient comme un rocher très pointu qui, s'il s'écrase sur vous, vous tue d'un coup sec, vous coupant toute respiration en vous tranchant la gorge. Moi ? Je voyais la vie comme elle devait être vue... Un arc-en-ciel qui pour briller et pour qu'on se rende compte qu'il est le plus cadeau sur terre, devait être nourrit de pluie, mauvais moments et de soleil, super moments... Je me souviendrais toujours de ma triste enfance : Ma mère était une louve, Kisu et mon père, un toutou de salon. Husky adulte Baming. Ensemble, ils me donnèrent la vie. Chose que je regrettai bien vite. Mon nom ? Eh bien, je veux l'oublier... Je grandissais a vue d'œil, on formait une vraie famille de canidé, très originale ! Mais mes parents se disputèrent... << - Notre fils doit vivre parmi les humains comme son père ! C'est la qu'est sa place !
- Non tu as tort ! La foret est un endroit merveilleux pour lui ! Il apprendra a défendre sa vie et a hurler a la pleine lune comme un loup digne de ce nom ! >>
Car, oui, j'avais hérité d'un physique de Husky comme mon père... Leur dispute ne s'arrêta pas a quelques phrases... Ils finirent par utiliser la violence... Les coups de griffes et les morsures résonnent encore a mon esprit embrumé. Ma mère, douce louve noire, finit pas s'enfuir. J'ai donc du vivre avec mon père. J'ai fais la connaissance de Smooschie, un jeune boxer mâle, marron et blanc. J'appris peu a peu a obéir tant bien que mal. Notre maitre était un jeune chasseur, il nous emmenait dans les bois et nous laissait une limite de temps pour ramener quelques proies. Plus c'était grand, beau, fort et pourvu de valeur a la vente de fourrure, moins on se faisait taper fort. Si on obéissait pas... On se faisait corriger, soit par l'étranglement, soit par les coups. Notre maitre possédait a peu près 250 chiens. Ils en oubliait parfois et certains étaient morts de faim, de soif ou s'étaient tout simplement écroulé sous les coups... Un jour, partant en foret, je vis une fourrure noire. Ombre sinistre. Soudain, la "fourrure" remua... Deux yeux bleus ciel se plantèrent dans les miens et l'animal et moi-même nous fîmes un bond en arrière...
<< - Ma... Maman ?
- Oui... Je... Viens !>>
Elle m'entrainai avec elle... Smooschie avait tout vu car on chassait ensemble, je lui dis adieu du regard en le suppliant de ne pas indiquer au chasseur la direction que nous avions empruntés... Ma mère m'appris que les humains traitaient mal les chiens et que même sous mon physique de husky, je devais me comporter en loup. Elle me fit passer différents niveaux... Meme si j'avais oublié papa et essayai de me comporter comme un loup, lorsque j'étais en colère, ma queue s'enroulait automatiquement sur mon dos comme celle d'un husky. J'avais hérité des beaux yeux de maman c'est tout. Avec détermination, je m'attelai fort a la tache, y mettant tout mon cœur... J'oubliai peu a peu Smooschie, papa et les autres... Mais un soir, papa vint m'enlever. Heureusement, maman avait détectée son odeur et lutta contre lui pour me garder auprès d'elle. Elle finit par tuer papa. Le lendemain, lorsque je me réveillai, une mauvaise surprise m'attendait... Tout était normal, ou AVAIT l'air normal du moins. Ma mère étaie assise face a moi, je me leva :
<< - Bonjour mon fils
- Bonjour maman
- Aujourd'hui c'est le moment... Tu es prêt...
- Prêt ?
- Oui, pour la dernière étape de tous ces niveaux... Tu... Tu va affronter le boss final...
- Cool ! Allons-y ! Qui est le boss ?
- C'est moi...>>
Je n'en croyais pas mes oreilles de loup... Je devais... Tuer ma propre mère ! La lutte du commencer, je finis par avoir le dernier mot. Je rentrai sur ce territoire qui était maintenant le mien, je levai la tête vers la lune, et hurlai pour la dernière fois en pleurant la mort de ma mère. Le vent souffla a mes oreilles le nom de ma mère KIsu et celui de mon père BAming... J'etais désormais seul et apprenais a vivre en Solitaire...
Et mon nom résonnai dans ma tête comme le premier jour ou je l'entendais m'écorcher les oreilles... Le vent me souffla une dernière fois... Kiba...
L'œil...
- Spoiler:
Monsieur Mac Cloud se sentait seul. C'était un vieillard agé, habitant une petite maison tranquille loin du grand village. Il était connu pour sa bonté, son hospitalité et sa gentillesse qui faisaient de lui un homme dont on parlait régulièrement, non pas en mal. On se posait des questions sur lui car il était bien mystérieux. Les gens allaient le voir une a deux fois par semaine, ce qui l'énervait souvent. Il se sentait inutile a leurs yeux comme un vieux papi s'écroulant dans son fauteuil pour regarder les autres entretenir sa maison. Un jour, la première petite fille qu'il eu vu depuis des mois se présenta sur le seuil de sa porte déjà ouverte. Elle portait une jupe rouge avec des collants blanc et des ballerines noires. Son petit pull léger était de couleur bordeaux. Elle frappa contre la porte ouverte. Ses nattes blondes brillaient au soleil comme de l'or. Ses yeux étaient d'un violet magnifique... L'homme eue peur d'être encore dérangé par ces propositions de placement en maison de retraite, il s'apprêtait déjà a renvoyer l'invitée. Quand il vit que c'était une jeune fillette innocente, il fut bien surpris :
- Mais, que fais-tu ici jeune enfant ?
- Ma mère m'a parlée de vous monsieur... Mac Cloud je crois...
- Oui c'est bien ca...
- Enchanté, je me nomme Sylvia. Ma maman m'a expliquée que vous viviez seul et que cela faisaient un peu longtemps qu'aucun enfant n'était venu vous voir. Je suis donc passée vous dire bonjour.
- Oh... Eh bien, je ne sais plus trop comment parler aux enfants... Est-ce que l'on dit encore "Salut" de nos jours ?
- Oui je crois, mais puis-je pénétrer dans votre demeure ou cela est-il trop demandé ?
- Oh... Entre, oui. J'en oubli la politesse tant je suis ébahi... Tu veux boire un jus de fruit ou un cacao ?
- Non merci Monsieur.
Elle prit soigneusement place sur une des chaises en cuir du vieillard. Aucun n'eut osé dire mot... Sylvia regarda un peu partout dans la maison. Celle-ci était grande et bien soigné. Soudain, elle se rappela quel était l'objet de sa visite au départ...
- Monsieur ?
- Oui ?
- Vous devez vous sentir seul pendant les vacances non ? Les gens partent en camping ou autre et certains sont occupés a loué leur gite pour de longues périodes...
- Ma foi... C'est bien vrai...
- Vous n'avez jamais eu d'animaux pour vous tenir compagnie étant enfant ?
- Eh bien... J'ai eu un petit chat... Il s'appelait Figaro. Il était noir et blanc.
- Et qu'est-il advenu de cet animal ?
- Nous avons du déménager et ma famille a pensé il y a peu, de me le reprendre pour éviter qu'il ne donne trop de travail a un vieux croulant comme moi...
L'homme rigolait après ces paroles... Mais une étincelle de tristesse luisait dans ces yeux.
- Figaro avait les yeux bleus, ils étaient magnifique... Mais j'ai appris récemment, qu'il était mort... Oh, il était comme moi, proche de la fin
- Je suis désolée... Mais, s'il vous manque, pourquoi ne pas reprendre de chat ?
- Non... Ce serait trop de responsabilité et c'est déjà a peine si je peux m'entretenir moi-même.
- Je viendrais vous aider si vous le voulez bien...
- Bon... D'accord... Reste a trouver des chatons... Mais, ta mère serait d'accord ?
- Maman serais même ravi a l'idée que j'aide un sage home a entretenir son animal et par la même occasion, faire un peu de ménage dans sa maison. En ce qui concerne les chatons, mon amie a eue une portée, ils seront sevrés des demain. Avec votre autorisation je peux vous en amener un des l'aurore ?
- Oui... Pourquoi pas...
- Une préférence de pelage ?
- Non... Choisis celui que tu veux cela m'ira très bien.
Sylvia salua chaleureusement le vieil homme et s'en alla. Le jour suivant, elle frappa a la porte. Un chaton tricolore aux yeux vert en main. Mac Cloud décida de l'appeler Cheddar. Sylvia avait amené toutes les affaires nécessaires pour s'occuper de cet animal. Monsieur Mac Cloud lui proposa de passer la nuit chez lui car l'orage grondait fort et les éclairs jaillissaient du ciel. Sylvia appela sa mère qui accepta la proposition. Mac Cloud lui offrit donc une chambre d'amis. Allongée dans le grand lit que le vieillard lui prêtait, elle vit le chat entrer dans sa chambre, il ressortit... Il alla s'allonger sur le lit du vieux monsieur. Mac Cloud le regarda, son pelage, avec les ombres de la nuit, était d'un noir et blanc presque pur... Et, le vieillard n'en était pas sur mais il crut apercevoir en l'espace d'un instant les yeux du félin devenir bleus...
Pop, un passé, un présent et désormais un avenir...
- Spoiler:
Salut ! Je me nomme Pop. Je suis un jeune appaloosas né il y a d'ici deux jours. J'aime gambader, suivre les différents animaux qui partagent le monde a nos cotés, faire le fou et exécuter des cambrioles qui se terminent très souvent par un atterrissage brutal... Mais enfin bref, ma mère ne me quitte pas des yeux. Elle m'a dit que mon nom venait de chez les humains, car oui, nous étions domestiqués. Mais, moi je ne les laissai pas s'approcher trop près... Ils me font peur, ils ne ressemblent ni a des singes ni a des chevaux. Ils ont quatre pattes comme nous mais se promènent seulement sur leurs pattes arrières. Ils mangent un truc qui éclate quand on le cuit ça s'appelle du Pop Corn. Mais moi, je suis un Pop sans corne ! Juste un Pop et c'est très bien comme çà d'abord ! Sinon, on me cuirait et on me mangerait ! C'était un jour merveilleux, le soleil jouait a se cacher derrière les nuages comme si il m'invitais a aller le rejoindre... Je criai que je n'avais pas d'ailes mais il n'entendait pas. Il était sourd ou quoi ? En plus, il m'éblouit ! Maman me rappela a l'ordre, il ne fallait pas que je m'éloigne trop et la, elle voulait que je la rejoigne. Un humain tenta de m'attraper. Non ! Je fis maladroitement un écart, je dérapa dans la boue et descendit une colline sur les fesses en terminant cette superbe glissade sur le ventre. Ça fait mal ! Il va me le payer ! Moi aussi quand je serai grand je l'attraperai ! Et je lui botterai les fesses a coup de sabots ! Ah il va voir ! Les jours passaient, plus je grandissais, plus on m'approchai. Je finis par comprendre qu'il fallait que je leur fasse confiance, c'est vrai après tout, ils sont peut être laids mais je ne les connaissais pas en entier... Et a ce temps, croyez-moi, j'aurai mieux fait de ne pas les connaitre du tout ! Ils me dressèrent comme il fallait. Maman m'expliqua quand je la rejoignis dans le pré, que je serais comme papa. C'est vrai, papa je ne l'ai jamais vu. Que voulait-elle dire ? Je lui demanda de continuer... Je deviendrais un étalon pour... Rencontrer des juments et avoir des poulains avec !? Ah ça non ! Je m'énervai, terrifiant ma mère qui étaie âgée. A ce moment, un homme vint la chercher, je ne l'avait jamais vu... Il mit ma mère dans un camion sur lequel il était inscrit en gros "Abattoir du coin, nous tuons vos animaux a vôtre place - Pour vous débarrasser des vieilles bêtes qui polluent vos champs et ne servent a rien..." Alors ma mère ne servait a rien !? Je ne voulais pas qu'ils l'emmène ! Je l'appelai désespérément mais elle semblait ne pas vouloir bouger. Elle qui étaie si ancienne sur cette Terre n'avait plus beaucoup de force pour se débattre. Sans réfléchir, je pris mon élan, et d'un bond, sautai la barrière qui nous séparait. Je galopai derrière le camion, mettant tout mon espoir dans chaque sabot qui claquait vite sur le sol. J'y poussai toute ma force, mais le camion accélérait toujours. Après quelques temps, alors que je me sentais que j'étais au bout de mes forces, je manquai de faire un malaise au milieu de la route. Un humain passant dans une boite roulante rouge, s'arrêta et attrapa mon licol. N'ayant plus de force pour me défendre, je demanda :
- Ah bonjour, pourriez-vous m'emmener a l'abattoir ? Il faut que je rattrape ce camion il y a ma mère dedans !
L'humain me regarda, il répondit :
- Ben alors mon beau, on s'est perdu ?
C'est vrai j'avais oublié ! Les humains ne comprennent pas le langage équin ! Dommage, sa boite rouge avait l'air d'aller vite, de pouvoir courir longtemps sans être épuisée. L'homme regarda sur le licol, il y avait inscrit le nom du propriétaire. Il du me ramener a pied, laissant sa belle boite rouge sur le bas coté de la route. Nous arrivâmes chez moi après quelques temps de marche.
- Excusez-moi ! Il me semble que j'ai retrouvé vôtre cheval sur la route !
- Ah ! Cette vieille carne est partit ! Je vous remercie monsieur mais vous savez, je n'ai pas de temps a perdre avec un jeune étalon fugueur, il sera vendu.
- Eh bien, sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas, il y a la foire aux animaux demain sur la place de Chocolato-ville.
- Hum... Chocolato-ville dites-vous ? Ce n'est pas loin, en effet, il y sera des l'aurore demain matin !
- Sur ce, au revoir, et bonne chance pour vendre vôtre cheval
- Au revoir, avec mes remerciements une fois de plus
Il se tourna vers moi, ou la la. Il n'avait pas l'air content. La nuit, il m'enferma dans un box. Le lendemain, tout était tendu, en silence, un "gu-gusse" comme je me plais a les appeler, mettait mes affaires dans un camion. Sans pour autant m'oublier... A la foire, tout était bruyant et les gens grouillaient de partout. Un homme bien habillé me regarda, je lui dit :
- T'as un problème ? J'aime pas ta tronche, t'as une tête de gland !
Cela m'était égal d'être impolis envers les Hommes, ils ne pouvaient pas me comprendre...
- Oh oui tu m'aimes bien hein ?
- Quoi !? Non mais tu m'insultes la ! Je vais te dire tout de suite, m'acheter serais la pire erreur de ta vie...
- Je le prend !
- Gros naze !
Il m'embarqua avec lui... Arrivé, la porte s'ouvrit, sa demeure étaie immense... J'espérai juste qu'il ne comptait pas monter a cheval en smoking... Je contemplai la maison... Si les box étaient aussi grands, je m'y plairais c'est sur ! Mais... Je n'en voyais pas de box ?
- Major d'homme ?
- Oui Monsieur ?
- Mettez ce cheval dans ma cave a vin !
Quoi !? Une cave a vin ! On aura tout vu ! Mais... Mais c'est petit ! Ra la la... Au début d'après midi, "Major d'homme" puisque c'était son nom je crois, nom bizarre soit dit en passant vint e chercher. Il m'attacha a un drôle de truc. Hé ! Je le connais ! C'est le "gusse" en smoking ! Il lève un drôle de gros fil en l'air, il va peut être me le donner ! Ca descend, ça descend encore... Aie ! Égoïste ! Il me tape avec ! Sous le choc de la douleur, je pars au galop. Le gars en costard doit avoir la trouille parce qu'il tire sur les rênes et m'arrache la bouche. Je finis par m'arrêter. Je sens le liquide chaud et rouge que contiennent nos veines couler dans ma bouche. Les mois passent, la nourriture est rare, je suis maigre et assoiffé... Je vis dans la cave... J'ai enfin compris les règles de ce drôle de "chariot" dans lequel se placent les humains... Tient, on vint encore me chercher et m'"atteler". Je trotte comme on me le demande, on fait un petit tour en ville. La, on s'arrête. Un ami de mon maitre vient lui dire bonjour. Je regarde les rues. Personne semble me remarquer... Je suis dissimulé dans la foule... Je n'existe plus. Je ne suis plus celui que j'ai été. Je surprend mon reflet dans une vitrine de magasin... C'est moi ça !? Non ! C'est pas possible ! J'ai l'air si triste, si... Qu'est-ce qu'il m'a fait ? Je ne peux plus le supporter ! Je rassemble mes forces, je me cabre soudain très haut. Je tombe en arrière. Un équidé au loin a fait comme moi... En tombant, je me suis libéré. Vite ! Je galope dans les rues débordant de gens qui me fixent étonnés lorsque je leur files devant le nez. Je fais en sorte qu'on n puisse pas attraper mon licol. Je galope, je files comme le vent. Je ne me retourne pas, et si ils étaient derrière ? J'entends des sabots... On me suit ! J'accélère ! Arrivé loin du village, dans un grand champs de fleurs, je m'écroule enfin, L'équidé a fait comme moi, c'était lui, enfin elle qui me suivait. Elle tombe a coté de moi, on reprend nôtre souffle, on mange, on boit. Le paradis ! Puis, elle engage la conversation
- Bonjour, je t'ai vu, tu a été très courageux !
- Bonjour, merci mais je n'ai fais que me rebeller...
Elle rigolait et approuva. Son rire était magnifique...
Et me voila maintenant adulte, avec ma nouvelle famille, une jument frison superbe... Un petit très joueur. Nous défendons notre liberté. A présent, je prend le temps de sentir l'air faire voler ma crinière, me rappelant la leçon que j'ai appris...
Ne Fais Jamais Plus Confiance Aux Humains...
Un petit délire de moi : J'ai envie de te dire...
- Spoiler:
J'ai envie de te dire que tu as de beaux yeux Avec un talent merveilleux Il ne tient qu'a moi de te le dire
Et tu joues si bien du piano Nos voix s'accordent avec l'instrument Vivement que l'on forme un duo Il me tarde d'entendre ton chant Et ton sourie me fait rêver...
Deux amoureux sur le chemin Ensemble, main dans la main
Tous les deux... Et les étoiles dans nos yeux...
Depuis toujours je veux t'avouer... Inconsciemment j'avais peur de ta réaction Rêver de toi... A côté de toi sans aucune haine Et j'ai envie de te dire que je t'aime...
J'ai besoin de toi... [/center]
Je te regardes depuis si longtemps... Je ne savais pas, j'en doutais. Mes sentiments se sont révèles quand je t'ai regardée dans les yeux et que je me suis demandée si je pourrais vivre sans toi. Tu savais que je t'aimais et je savais également que c'était réciproque de ton côté. Tu me donnais des surnoms que je ne trouvais en aucun cas agaçants ou déplaisants. Si intelligent... Tu étais un virtuose du piano... Tu m'avais chantée une belle ballade romantique sur la plage pour me déclarer ton amour. Je me souviens si bien... Tu m'avais dis d'un ton qui se voulait alarmant que c'était grave et de la plus haute importance. J’ai eue peur, pour toi... Le coucher de soleil avait manifesté de belles couleurs... Parfois mauves, rosées et rouge sang, c'était splendide. Quelle n'était pas ma surprise a la vue de l'instrument sur la plage. C'était si romantique... Je suis avec toi, je me sens bien... En sécurité. Mais voilà... Je sens bien que tu vas me parler, me fixer dans les yeux et prendre une voix sérieuse et douce a la fois pour m'adresser la parole. Et voilà que tu te places face à moi. Mon cœur bat si vite que j'ai l'impression qu'il s'est envolé... Il t'appartient. Tu me regardes dans les yeux, puis baisse le regard. C'est grave ? Vite, je veux savoir ! Que se passe-t-il ? Te me fixes a nouveau. Je sens dans cette lueur que tu as peur de ma réaction. Quoi ? Je stress... Tu arbores un air si embarrassé que je ne sais comment réagir, ni quoi dire. Tu finis par prendre ma main et tu engages la conversation que tu redoutes... La, je pleures... Tu vas me quitter... Tu t'en vas. Tu... Pars loin sans m'emmener avec toi. Je vais rester la a faner en attendant que tu reviennes... Oui tu t'éloignes de moi demain... Pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt ? J'accepte néanmoins... Je pleures tellement. Mais voilà, tu es si doué en piano que tu pars loin pour faire un récital ou deux, tu vas faire une grande tournée avec un grand orchestre. Si connu d'ailleurs, que tu n'as pu t’empêcher d'accepter à l'avance. Tu me rassures, tu me dis qu'avec l'argent tu pourras me rendre heureuse un jour... Je me sentirais comme une princesse... Quand tu reviendras... Mais voilà, tu commences déjà a partir, tu m'as embrassé pour la dernière fois et tu me tournes le dos, tu avances... Je te rattrapes... Et la je te dis
Je n'ai pas besoin d'argent pour être heureuse, je n'ai pas besoin de ressembler à une princesse pour avoir confiance en moi... j'ai besoin que l'homme que j'aime, mon seul prince, soit a mes côtés... Pour toujours... Car a lui seul il vaut bien plus qu'un coffre en or, c'est pour cette unique raison que j'en ai fais mon trésor...
En attente de vos commentaires ! =)
A suivre... | |
| | | Aimi Yamamoto
Messages : 52 Date d'inscription : 15/09/2012
| Sujet: Re: La Fabuleuse Caverne Des Ecrits Oubliés... Lun 17 Sep - 18:49 | |
| Tu connais déjà mon avis ^^ | |
| | | Henrietta de Tristain Reine de Tristain
Messages : 1156 Date d'inscription : 14/01/2012 Age : 33
| Sujet: Re: La Fabuleuse Caverne Des Ecrits Oubliés... Mar 18 Sep - 12:44 | |
| J'aime beaucoup ton histoire sur le cheval, elle est très belle! Tu as l'air d'aimer écrire en tout cas Shaima. ^^ | |
| | | Hoshiko Hyuga
Messages : 14 Date d'inscription : 17/09/2012
| Sujet: Re: La Fabuleuse Caverne Des Ecrits Oubliés... Mar 18 Sep - 21:56 | |
| Merci des commentaires, j'adore écrire, je suis en ce moment même en train de créer un roman. Je copie plus de trois fois les chapitres de 6 Pages de brouillon avant de les ré-écrire une dernière fois pour les mettre au propre ^^ Le chapitre 1 a été achevé aujourd'hui ^^
Je vais le mettre de suite, j'espère voir des commentaires pour me dire si le début est bien... :
Mickaée... (Chapitre 1 = Une rencontre, un bijou, un secret...)
- Spoiler:
Je me promenais le long des allées de la grande ville en laissant mon regard vague se perdre sur le visage des personnes qui arpentaient les trottoirs alentours. C'était ce genre de fis de Bourges bien vêtus qui vous regardaient d'un air supérieur après avoir rabaissé les lunettes de soleil dernier cris, posées sur le nez sous un ciel sans rayons. Ces jeunes bourgeois qui se pavanaient, fiers d'être habillés de la sorte, comme une petite fille aime porter un tout nouveau jupon que lui a offert sa mère quelques minutes plus tôt. Il y avait aussi la présence des filles dans cette rue fréquemment empruntée par les villageois. Bien qu'ayant atteint l'âge de 26 ans j'aurais du m'intéresser à la gente féminine, ce ne fut jamais mon cas. Je n'étais pas racé de chez les pervers et jamais mon regard ne se posa sur une fille de manière indécente. De toute manière, il y avait 3 sortes de filles qui côtoyaient les ruelles sombres et grises. La majorité longeaient les vitrines en scrutant chaque tenue à la mode d'un œil alléchant avant de l'acheter pour ensuite, jeter celle de la veille au fond de leur penderie. Les autres étaient accompagnées de leurs amies avec qui elles rigolaient ou encore, marchaient en compagnie de leur mari, la tête posée sur l'épaule de celui-ci. Le reste trainait les pieds avec un air d'ennui collé au visage, souvent trop pressées pour remarquer ton existence. Et, entre ces trois groupes de filles différents, il y avait Mickaée... Je l'avais rencontré un jour comme celui-ci. Et quelle rencontre ! Alors que je me marchais nonchalamment en fin d'après-midi, à l'instant même où le soleil étirait loin ses derniers rayons orangés avant de s'endormir, je rêvassais. Je devais traverser un petit parc avant d'arriver chez moi après une journée de travail exaspérante. Je me retrouva bien vite à suivre le chemin d'une jeune femme d'à peu près mon âge. Sa féline démarche, son parfum à moitié évaporé qui flottait légèrement et sa chevelure qui dansait sur ses épaules... Je m'en souviendrais toujours dans les moindres détails. Elle tenait en main un sac à motifs de léopard. Sans vraiment prêter attention à elle, je finis par apercevoir un objet brillant tomber de son sac. Aussi généreux que je le fus toujours à l'égard des autres, je me baissa pour le lui ramasser. Je vis qu'il était presque neuf. J'interpellai donc la jeune femme : - Heu.. Excusez-moi madame - Mademoiselle corrigea-t-elle d'un air doux. Qu'y a-t-il ? - Ce... Cet objet est tombé malencontreusement de vôtre sac. Je me suis permis de vous le ramasser. - Oh, merci ! C'est vraiment gentil monsieur... - Berkant. Paul Berkant. Appelez-moi Paul. - Enchantée ! Audrey Delafontaine. De même, appelez-moi Audrey. Il y eut un long silence durant lequel, je fixais l'objet brillant. - C'est un beau bijou dis-je soudain - Oui je... Je dois y aller Paul. Nous n'avons qu'à nous retrouver demain soir. - Heu... Oui je... Pourquoi pas ? 18h, cela vous convient ? - Non... C'est trop tôt. Minuit, aux alentours du parc. - Eh bien c'est un peu tard mais... D'accord. Au revoir Audrey. - Au revoir Paul ! Qu'est-ce qu'il m'était encore passé par la tête ? Audrey... Quel prénom magnifique. Un truc m'échappait cependant. Ce bijou presque neuf... Peut-être que son mari ou une amie lui en avait fait cadeau. Mademoiselle Audrey. Qu'elle était belle avec ses cheveux ondulés qui virevoltaient comme si ils exécutaient une farandole sauvage dans son dos, son sourire blanc nacré si angélique... Je me remis les idées en place et décida qu'il était enfin temps de rentrer. Je mangea puis alla dormir, il se faisait tard après tout. Le lendemain, les premiers rayons dorés du soleil me tirèrent de mon sommeil très tôt. Samedi, je ne travaillais pas. Je pris un café et alla promener Symfresh. Qui est Symfresh ? Oh, c'est mon chien. Un berger allemand gentil, loyal et courageux. Mais, il a une peur bleue des diamants. Il faisait partie de la brigade des meilleurs chiens policiers. Lors d'une affaire incluant un vol de diamants, il s'est coupé un coussinet sur l'un d'eux et depuis, il n'ose plus les approcher. J'ai aussi une chatte sacrée de Birmanie : Doushka. Je passa ma journée à trier mes dossiers et je pris soin de mes animaux pour qu'il ne manquent de rien. Autant qu'un père avec ses enfants, j'adorais jouer et passer du temps avec mes amis à quatre pattes ! La plupart du temps le Samedi matin, je téléphonais au docteur Tireleau, je prenais rendez-vous et je les amenais. Mme Tireleau la vétérinaire me connaissait bien. Elle mettait régulièrement à jour les vaccins quotidiens contre les maladies incurables qu'ils seraient susceptibles d'attraper. En tant que sous-directeur de l'entreprise dans laquelle je travaillais, j'arrivais assez bien à payer les frais vétérinaires. Ce que je n'aimais pas dans mon travail, c'est que je n'avais pas assez de temps pour moi. Je rentra à la maison après être allé chercher un papier important que j'avais oublié à l'usine. J'étais tant occupé par les dossiers et les fichiers à signer et à remplir que je ne vis pas le temps passer. Assis encore un moment sur ma chaise de bureau, je vérifia que tout était en ordre pour m'occuper des feuilles moins urgentes. Je finis pas sentir la fatigue m'envahir. Peu à peu, mes paupières se refermèrent et je finis pas m'assoupir...
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| | | Henrietta de Tristain Reine de Tristain
Messages : 1156 Date d'inscription : 14/01/2012 Age : 33
| Sujet: Re: La Fabuleuse Caverne Des Ecrits Oubliés... Mer 19 Sep - 10:07 | |
| Personnellement j'aime bien, y a quelques fautes par-ci par là, mais l'histoire que tu raconte est très intéressante. J'ai hâte de lire la suite. ^^ | |
| | | Shaïma
Messages : 154 Date d'inscription : 03/09/2012
| Sujet: Re: La Fabuleuse Caverne Des Ecrits Oubliés... Ven 28 Sep - 13:40 | |
| Merci Henrietta =D
En attendant d'autres commentaires, voici le chapitre 2 Amusez-vous bien et bonne lecture ! =)
- Chapitre 2 = Mission Camouflage...:
Alors que j’étais profondément endormi, je sentis soudain une caresse chaude et douce m'effleurer le visage. Lentement, je laissais mes paupières se détacher et mes yeux s'habituèrent à la lumière du soleil. Qui me caressait ainsi le visage ? Qui avait hérité de mains si douces ? La réponse n'était pas celle que j'attendais. Pour une raison que j'ignore, j’avais tout d'abord pensé à Audrey. Je fus déçu quand mes yeux se posèrent sur le coupable qui n'était autre que Douschka. Mais... Mais je me suis endormi ! Oh non ! Audrey a du m'attendre. Douschka ronronne et se frotte encore à moi. Madame réclame ses croquettes. Prenant la démarche et la lenteur d'une personne qui vient de se réveiller, ce qui était mon cas, je me leva et servi à manger à mes bêtes. Je me passa un coup d'eau sur la figure pour éviter de passer pour un zombie en ville. Car oui, je me dirigea vers le parc. J'attendis longtemps en regardant les passants. Allais-je la revoir ? M'en voulait-elle ? Pourquoi m’avoir demandé de venir à minuit et pas avant ? J'entendis le bruit des talons résonner dans les ruelles sombres. Tac, tac, tac... Puis, devant moi, lorsque je leva les yeux, il y avait Audrey... Habillée d'une robe rouge et de chaussures noires à talons, elle me fixait. Surpris, je m’exclamai : Audrey ! Mais tout de suite, elle prit un air sérieux et me coupa la parole d'une voix sèche : - Vous n'êtes pas venu hier soir... Je vous ai attendu. - Je-Je suis désolé. Je me suis endormi ! Vous n'êtes pas fâchée ? - Mmmm... Plus ou moins... - Qu'est-ce que c'est sensé vouloir dire ? - Ça veut dire ce que ça veut dire... Elle esquissa un petit sourire. Soudain, elle parut plus raide et renfermée, son sourire disparut. Une sirène de police retentissait au loin, des chiens aboyaient furieusement et des policiers entrèrent dans le parc. Intrigué, je ne sentis pas tout de suite la main d'Audrey agripper mon bras et m'entrainer avec elle. J'entendis un des policiers hurler : - Elle a un complice ! Lâchez les chiens ! Les chiens nous poursuivirent. Nous nous cachâmes dans un coin, et, éberlué, refusant d'y croire, je demanda : - Tu es recherchée par la police !? - Chuuut... C'est une longue histoire... Elle mit sa main sur ma bouche pour m'empêcher d'en savoir davantage. Un clébard se trouvait à quelques centimètres de nous, en train de nous pister. Il nous fixa ensuite et se mit à grogner. Audrey se précipita sans me lâcher loin du parc et de la ville sombre. Sans avoir l'occasion de dire quoi que ce soit, je me contenta de repérer le chemin que nous empruntions. Nous arrivâmes dans une forêt épaisse. La végétation nous servi de cachette. Je dis d'un ton sérieux : - Alors, à partir de maintenant, si vous ne me dites pas ce qui se passe en détails, je ne bougerais plus. - Paul voyons, ne jouez pas les gamins fâchés... - Que vous ayez une histoire longue, j'ai tout mon temps pour l'entendre mais si je suis impliqué là-dedans je... Elle ne me laissa pas finir qu'elle me coupa à nouveau la parole : - Vous l'êtes depuis toujours... - Quoi ! - J'en ai trop dit cette fois... - Non pas assez justement ! - Taisez-vous ! Elle se leva et fit quelques pas, elle se retourna et me fit signe de la rejoindre. Arrivé vers elle, je fouillai du regard ce qui avait bien pu l'attirer. Elle s'en alla par la droite. Je l'entendis m'interpeller : - Paul regardez ! Tournant la tête, j'eus à peine le temps de remarquer qu'elle retenait une branche dans ses mains avant de me la prendre dans la figure... Plus rien. Quelques heures plus tard, je me réveillai dans une grotte et je me souvins de l'histoire. Titubant légèrement, je sortis et vis Audrey. Elle me regarda et sourit avant de prendre la parole : - Ah ! Vous voila réveillé ! - Oui et c'est décidé : je rentre ! - Pourquoi donc ? - Parce que je n'ai pas à être impliqué dans vos histoires ! Mes animaux m'attendent et j'ai des dossiers à remplir ! - Pfff... Vous êtes recherché par la police vous aussi et je suis sûre qu'il y a peu de directeurs ici qui garde des employés recherchés... - Je m'expliquerais bien... Elle poussa un petit rire mesquin : - Sayonara Paul ! - Ouais c'est ça, a plus ! Furieux, je tourna les talons pour me retrouver au milieu de... Nulle part. Ou étions-nous ? Loin de la ville sans doute. - Audrey... Où sommes-nous ? - Secret... Je cherchais désespérément un passage connu... Mais il fallait se rendre à l'évidence, Audrey seule, connaissait le chemin du retour... Je retourna m'asseoir vers elle. - J'abandonne... Vous seule savez où nous nous trouvons - C'est exact. Venez. Sans trop avoir le choix, je la suivis encore une fois. Après environ une heure de marche en forêt, nous débarquâmes vers une maison/. Elle frappa 3 fois à la porte qui se déboucla. Nous entrâmes donc. L'endroit était peu accueillant, sombre, débordant d'araignées et de cafards. Tout était poussiéreux et on ne voyait même pas à travers les vitres. Quelle horreur ! Audrey se dirigea vers la cuisine. Enfin, ce qui semblait être une cuisine. Moi, je pris la direction d'une pièce qui à priori était un salon. La télé sale fonctionnait, le fauteuil était vide. Une main squelettique m'empoigna le bras sans délicatesse : - Qui êtes-vous ? Pendant que je bafouillais ma réponse, Audrey s'empara de la discussion : - C'est Paul mamie, un ami. - Comment ? Audrey haussa donc le ton : - C'est Paul ! Un ami ! - Ah bon... Je n'aime pas les inconnus... La vieille dame faisait peur à voir. Ses cheveux blancs, emmêlés qui tombaient dans son dos, atteignant ses hanches, son visage ridé, sa bouche sèche, ses gros yeux noirs et ses mains squelettiques. Elle n'avait que la peau sur les os. Une porte claqua au loin et un vieillard arriva à son tour. Il était bien différent de la vieille femme. Ses cheveux court et marrons, sa moustache et son gros ventre. On aurait dit Obélix sans les couettes... Tout de suite, il me regarda méchamment, pointant son gros doigt sur moi : - Qui c'est lui ? Audrey soupira et expliqua à son "grand frère" qui j'étais une fois de plus. La vieille avait lâché mon bras. Tout le monde se dirigea vers la cuisine. Nous nous assîmes à table pendant que le repas chauffait. Tous les regards étaient tournés vers moi et un léger malaise régnait. Soudain, un bruit inattendu suivit d'un cri terrifiant, perça le silence de la forêt dense...
Début du Chapitre 3 en cours... | |
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